La transformation numérique du gouvernement du Québec veut faciliter nos interactions avec les services auxquels nous avons droit. Sauf que les nouveaux services numériques sont trop souvent conçus sans impliquer les citoyen·ne·s qui vont devoir les utiliser, selon le Baromètre numériQc. Et que dire de celles et ceux que les fractures numériques risquent de carrément laisser de côté!
Les terres agricoles du Québec sont en danger, titrait hier Le Devoir dans un article sur le rapport de la commissaire au développement durable déposé le 25 avril. Ce n'est toutefois pas la seule cloche que sonne la commissaire Janique Lambert en tapant sur les doigts du ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation (MAPAQ). Il y a péril en la demeure.
Ce n'est pas dit aussi crûment, mais ça a au moins le mérite d'être clair. Pour la ministre des Transports, Madame Guilbault, « Gérer le transport collectif et les sociétés de transport, ce n’est pas une mission de l’État ». Et si, au contraire, le transport collectif était bel et bien une mission de l'État?
En lisant l'article Non criminellement responsables à répétition d'Améli Pineda et Stéphanie Vallet, un article qui amène à se demander si la Commission d’examen des troubles mentaux (CETM) fait bien son travail, je me suis dit qu'il vaudrait la peine que je porte un regard plus global sur la santé mentale au Québec.
La ministre fédérale des Finances dit, dans son dernier budget, vouloir «explorer de nouvelles mesures pour élargir l’accès aux produits de financement de rechange, comme les prêts hypothécaires islamiques». Elle aura provoquét une levée de boucliers contre la finance islamique. Pourtant, cette dernière est bien implantée au Canada depuis de nombreuses années.
Tellement d’informations nous échappent. Prenez ce vote en juin dernier, au Parlement canadien, d'une clause qui garantit que chaque Canadien·ne a droit à un environnement sain et qui impose au gouvernement fédéral le devoir de protéger ce droit. Je ne suis sûrement pas la seule à qui ce vote a échappé. Je me demande toutefois si on doit se sentir rassuré par cette clause?
Après avoir appris que Women Who Code, une organisation œuvrant à l'avancement des femmes dans le secteur des technologies qui dit avoir plus de 360 000 membres dans 145 pays, mettait fin à ses activités en invoquant une insuffisance de revenus, j’ai eu envie d’aller voir ce qu’il en est au Québec de la place des femmes en TI.