Le titre du billet d’aujourd’hui pourrait être un slogan pour cette Journée mondiale du recyclage. Un slogan qui viserait les entreprises qui nous vendent des produits non recyclables. Il faut savoir que la quantité de matières non recyclables va en augmentant. Quant à la matière recyclable, moins de la moitié (47%) arrivait à l’étape du conditionnement”) et du trie en 2021, pour ensuite être recyclée.
Au cours des cinq dernières années, j’ai acheté deux leggings et quatre paires de bas. La pandémie a limité mes achats, mais même aujourd’hui je continue à me contenter de ce que j’ai. Déjà qu’avant, je renouvelais peu souvent ma garde-robe. L’addiction à l’achat de vêtements nouveaux demeure pour moi un mystère. Creusons donc.
Je viens d’apprendre que la consommation des légumineuses était jadis très répandue en France, mais que la viande les a peu à peu remplacées dans l’alimentation. Dommage. Même si je suis végétalienne, je n’ai rien contre les carnivores, si ce n’est que la viande est beaucoup trop présente dans leur menu, ce qui cause d’importants risques environnementaux.
Selon le Dictionnaire collaboratif du français parlé, faire simple c’est ne pas réfléchir, agir simplement. Je vous propose une autre version où il faut, au contraire, réfléchir pour pouvoir faire simple.
Parfois je trouve un titre, puis je me dis qu’il a déjà dû être choisi. Là je suis tombée pile sur le titre que j’avais d’abord imaginé, coiffant un article paru en 2011. Pour l’auteur de l’article en question, la religion de la croissance nous mène à la ruine. Notre salut résiderait donc dans son contraire, la décroissance?
François Villon, l’auteur de cette phrase, vivait bien avant le réchauffement de la planète. Qu’en dirait-il de nos jours, alors que la neige est si peu abondante au Québec? On se plaint quand il y en a trop, on se plaint quand il n’y en a pas assez, mais se demande-t-on ce que serait notre nature sans la neige?
Depuis dix ans maintenant, année après année, le rapport État de l’énergie au Québec fait le même constat: la consommation énergétique par habitant au Québec reste l’une des plus élevées au monde. Ce rapport est essentiellement un bilan. Après l’avoir lu, on fait quoi?