Aujourd’hui, le texte d'opinion «Une saga muséale qui se poursuit», publié par Le Devoir, a attiré mon attention. L'auteur, Jean-François Gauvin, est professeur en muséologie. Il s'en prend à l'amateurisme de nos dirigeants vis-à-vis de la culture muséale. Moi qui ai oeuvré 16 ans dans un musée, je me suis dit que bien peu savent seulement ce qui justifie l'existence des musées.
Je vous ai parlé en janvier dernier des frais de scolarité que doivent désormais payer les étudiants et étudiantes venant des autres provinces du Canada (Plus que les frais de scolarité). Je disais alors que quant à moi, les frais de scolarité seront toujours trop élevés. Mais ce n’est pas le seul élément à prendre en compte.
Je viens de passer un test dont les résultats m’ont amené à réfléchir sur le sens des mots woke et wokisme. Selon ce test, je serais woke à plus de 81,5%. On me dira que les tests, faut en prendre et en laisser, ce sur quoi je serai bien d’accord. N’empêche.
Cette semaine sortait le rapport Prêt pour l’IA, commandé par le gouvernement du Québec. À en croire ce que je lis dans les médias québécois à propos des suites à donner à ce rapport, le Québec serait mûr pour adopter une loi encadrant l’intelligence artificielle. Ce ne serait pas aller trop vite en affaire?
Il fut un temps où je ne me posais pas cette question. C’était avant le Web. Il n’y avait que la radio et la télévision. À la radio, j’aimais beaucoup écouter le Cabaret du soir qui penche. À la télévision, les Beaux dimanches avaient ma faveur.
Je précise d’entrée de jeu qu’il s’agit dans ce billet des frais de scolarité que doivent débourser celles et ceux qui fréquentent les universités québécoises. J’ajoute que quant à moi, ils seront toujours trop élevés.