Le logement n'est pas une marchandise mais un droit, n'en déplaise au gouvernement actuel du Québec. Plutôt que de se défiler sous de faux prétextes, le gouvernement devrait respecter, protéger et même promouvoir ce droit fondamental. Encore faudrait-il que nos tribunaux l'amènent à agir en ce sens.
On imagine la scène: deux personnes étrangères occupant un emploi temporaire se rencontrent pour la première fois quelque part à Québec. L'une des deux demande à l'autre quel est son statut. L'autre lui répond que c'est compliqué. Bienvenue dans le merveilleux monde de la main-d’œuvre étrangère.
Souvent l'idée d'un billet me vient lors de la lecture ou du visionnement d'un contenu qui soulève une question. C'est le cas après avoir visionné l'entretien que Léa Clermont-Dion a eu avec la professeure en sexologie à l’UQAM, Sylvie Lévesque, sur la question des violences obstétricales. Je me suis demandé ce qu'il en est du droit à la santé pour réaliser qu'il y a là, visiblement, un problème de société.
Aujourd'hui je découvre un indicateur de santé: la charge de morbidité. En gros, c'est l'écart entre l'état de santé actuel et une situation idéale où toutes les personnes vivent jusqu'à un âge avancé sans maladie et sans incapacité. Si j'ai bien compris, comme le Christ est mort crucifié et qu'en plus il aurait ressuscité, il ne serait donc pas parmi les personnes calculée pour cet indicateur. Quoique la torture est une maladie contagieuse.
On apprend que pour une seconde fois, la Conférence des Parties, mieux connue sous son acronyme COP, sera présidée par quelqu’un qui a fait carrière dans l’industrie pétrolière, le ministre azerbaïdjanais de l'écologie et des ressources naturelles et ancien cadre de la compagnie pétrolière Socar, Mukhtar Babayev. Cette nomination ne devrait pourtant pas nous étonner, étant donné le lien étroit qui unit les acteurs du secteur privé, en particulier les multinationales, et l’ONU.